Les différentes interventions de la CGT du CHIC ou de ses représentants dans la presse locale !! 

Ouest France du 15/10/2014


Ouest France du 25/02/2014


Ouest France du 04/06/14


Télégramme du 11/01/14

Ouest France 11/01/14



Suite à la décision de fermer la maternité privée, le syndicat du centre hospitalier de Cornouaille réagit. Il craint pour les conditions de travail du personnel. Peur du monopole Suite à la décision de fermer la maternité à la clinique Saint-Michel-Sainte-Anne à la fin de l'année, des moyens vont être transférés au centre hospitalier de Cornouaille (Chic). L'établissement public se prépare à faire face à une hausse de 800 à 900 accouchements supplémentaires par an. « La CGT aurait préféré conserver une offre privée dans le Finistère-Sud, affirme Georges Guillouzouic, secrétaire général. Quand il y a monopole, il y a risque de dérive. » Tarification Pour le syndicat, le service de maternité du centre hospitalier, qui va passer à 3 000 accouchements, par an subit de plein fouet les effets pervers de la tarification à l'activité. « Nous craignons que la rentabilité prime sur la prise en charge des parturientes, ajoute le représentant de la CGT. Les séjours, de plus en plus courts, peuvent nuire à la santé de la maman et du bébé. » Rentabilité « Si la clinique a décidé de fermer sa maternité, c'est aussi parce que c'est un service qui n'est pas rentable », affirme Michèle Diraison, du syndicat. Les représentants du personnel dénoncent cette façon de voir les choses. « Pour écouter et accompagner les jeunes mamans, il faut du temps. Nous aimerions que la qualité des soins ne pâtisse pas d'une vision comptable ou chiffrée de la santé. La mission de service public, il ne faut pas l'oublier. » Conditions de travail La CGT veillera à ce que l'augmentation des lits à l'hôpital ne nuise pas aux conditions de travail des personnels. Lors du comité technique d'établissement, elle a demandé la titularisation des contractuels qui travaillent au sein du service. Cela concerne plus d'une trentaine des sages-femmes et d'auxiliaires de puériculture. « C'est bien d'intégrer les personnels de la clinique mais nous sommes vigilants sur le sort des salariés de l'hôpital. » Une sage-femme, une infirmière et huit auxiliaires de puériculture ont souhaité rejoindre l'équipe du Chic en bénéficiant d'un parcours personnalisé. Lucile VANWEYDEVELDT. Ouest-France


La CGT tire la sonnette d'alarme pour les Ehpad Quimper - 07 Mars Les Ehpad sont un véritable lieu de vie. La CGT réclame ces 200 000 € afin que les équipes puissent continuer à travailler dans de bonnes conditions. | Archives Ouest-France Ronan LE GOASTER. Le conseil général réclame l'excédent de 200 000 € réalisé par les Ehpad de Quimper et Concarneau. La CGT de l'hôpital refuse et lance un appel. C'est une situation paradoxale. Les six Établissements hospitaliers pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) - pour moitié à Quimper, les trois autres à Concarneau - avaient dégagé, en 2011, un excédent de 200 000 €. Une réjouissance pour le syndicat CGT, constatant un besoin urgent d'investissement dans le matériel et les conditions de travail. Cette somme, le conseil général, qui l'avait versée selon la réglementation mise en place pour l'Apa (Allocation personnalisée d'autonomie), vient de la réclamer, partant du principe que tout n'a pas été dépensé. Là où les membres de la CGT crient au scandale, le conseil général brandit le texte de loi, tout simplement. « L'Apa n'est pas une subvention, réagit Georges Kergonna, conseiller général et membre du conseil de surveillance de l'établissement hospitalier. Il s'agit d'une aide destinée à des soins précis. Or, ce qui a été alloué n'a pas été utilisé. C'est acté en fonction de chaque situation. Si l'an prochain, il y a besoin de plus, nous donnerons plus. » Lettre au Département Un argument entendu par le secrétaire général de la CGT du Chic (Centre hospitalier intercommunal de Cornouaille), Georges Guillouzouic qui l'entend, le comprend, mais demande juste un geste afin de sortir la tête de l'eau des Ehpad, en grosses difficultés financières selon lui. « Nous savons très bien que l'Apa n'est pas une subvention. Mais c'est un SOS que nous lançons, aux côtés du directeur de l'hôpital. Cet argent, il est nécessaire. Afin d'améliorer les conditions de travail mais aussi pour renouveler le matériel. » Cet appel au secours, les syndicats l'avaient déjà adressé à la ministre de la Santé, Marisol Touraine, lors de sa récente visite dans le département. « Nous lui avions dit de ne pas oublier les Ehpad. On ne sait plus à qui s'adresser. »

vendredi 28 septembre 2012
 
 
Peur du monopole
 

Suite à la décision de fermer la maternité à la clinique Saint-Michel-Sainte-Anne à la fin de l'année, des moyens vont être transférés au centre hospitalier de Cornouaille (Chic). L'établissement public se prépare à faire face à une hausse de 800 à 900 accouchements supplémentaires par an. « La CGT aurait préféré conserver une offre privée dans le Finistère-Sud, affirme Georges Guillouzouic, secrétaire général. Quand il y a monopole, il y a risque de dérive. »

 

Tarification

 

Pour le syndicat, le service de maternité du centre hospitalier, qui va passer à 3 000 accouchements, par an subit de plein fouet les effets pervers de la tarification à l'activité. « Nous craignons que la rentabilité prime sur la prise en charge des parturientes, ajoute le représentant de la CGT. Les séjours, de plus en plus courts, peuvent nuire à la santé de la maman et du bébé. »

 

Rentabilité

 

« Si la clinique a décidé de fermer sa maternité, c'est aussi parce que c'est un service qui n'est pas rentable », affirme Michèle Diraison, du syndicat. Les représentants du personnel dénoncent cette façon de voir les choses. « Pour écouter et accompagner les jeunes mamans, il faut du temps. Nous aimerions que la qualité des soins ne pâtisse pas d'une vision comptable ou chiffrée de la santé. La mission de service public, il ne faut pas l'oublier. »

 

Conditions de travail

 

La CGT veillera à ce que l'augmentation des lits à l'hôpital ne nuise pas aux conditions de travail des personnels. Lors du comité technique d'établissement, elle a demandé la titularisation des contractuels qui travaillent au sein du service. Cela concerne plus d'une trentaine des sages-femmes et d'auxiliaires de puériculture. « C'est bien d'intégrer les personnels de la clinique mais nous sommes vigilants sur le sort des salariés de l'hôpital. » Une sage-femme, une infirmière et huit auxiliaires de puériculture ont souhaité rejoindre l'équipe du Chic en bénéficiant d'un parcours personnalisé.

 

 

Lucile VANWEYDEVELDT.

Chic. Georges Guillouzoic à la tête de la CGT

25 novembre 2011

Un aide-soignant succède à un autre aide-soignant à la tête de la section CGT du centre hospitalier de Cornouaille (Chic). Georges Guillouzoic en a été élu secrétaire général, hier, à la suite d'Alain Corfmat, auquel la cinquantaine d'adhérents présents a réservé de chaleureux applaudissements en fin de congrès. Alain Corfmat a achevé, hier, son 3e mandat à la tête de la section, qui compte 130 adhérents. La CGT est le deuxième syndicat de salariés de l'hôpital. Il a obtenu 32,21% des voix aux récentes élections professionnelles, il figure «même en première position à Concarneau, où nous envisageons de renforcer notre implantation en créant une section, dépendante de celle du CHIC». L'équipe du nouveau secrétaire est composée de Karine Gaonec, Jean-Marc Trébern, Patricia Legoutté, Béatrice Natail, Françoise Guiriec, Michèle Diraison et Brigitte Cornec.


La CGT du centre interhospitalier de Cornouaille a tenu à faire mardi dernier le point sur la réorganisation de l'hôpital. La vigilance est de mise.
« Nous ne sommes plus en déficit et l'argent que les salariés font gagner à l'hôpital doit désormais leur revenir » ont-ils expliqué. Cet argent, selon la CGT doit être consacré aux salaires, aux différents services et à la création de postes. Surtout dans les maisons de retraites comportant une unité de soins à longue durée. La CGT s'inquiète notamment de la décision de l'agence régionale d'hospitalisation qui a décidé de créer 94 lits en unité de soins à longue durée alors que le conseil d'administration du Chic en avait demandé 115, et que selon les estimations médicales, 125 résidants des six maisons de retraites que compte le Chic sur Quimper et Concarneau devraient être en unité de soins longue durée « On sait déjà que 30 patients ne pourront pas être accueillis dans ces services »,constataient les militants CGT.

 

Autre inquiétude de la CGT : 350 000 € supplémentaires doivent être attribués entre les six résidences. Une bonne nouvelle certes, mais rien n'est encore fait et rien ne dit non plus que cette somme sera reconduite d'année en année. Problème également des conditions de travail dans ces maisons de retraites. Il manque de personnel. La CGT se promet d'être très vigilante sur les futures conditions de travail. « Un poste a déjà été créé aux Brisants à Concarneau, c'est déjà ça, mais ça ne suffit pas », constatent les syndicalistes qui souhaitent une remise à plat des effectifs dans toutes les maisons de retraite pour faire une évaluation réelle des besoins.

Derniers soucis de la CGT : elle s'oppose à la fermeture des urgences et à la suppression du standardiste, la nuit, à l'hôpital de Concarneau.

Ouest-France